Qui sommes nous ?

Merci de nous rejoindre et de contribuer ainsi au succès de nos actions.

Vous ne trouverez au sein de notre association, ni beaux discours, ni belles illustrations, mais beaucoup de bonne volonté pour trouver de vraies solutions efficaces et pérennes malgré un mini budget. A part deux ou trois locaux qui travaillerons en capacité de traducteurs et d’ambassadeurs nous sommes tous bénévoles et ne demandons aucune rémunération personnelle. Vos dons sont donc utilisés à 100% au financement de nos actions et à la couverture de nos frais.

Vous vous demanderez peut être pourquoi centrer notre action sur le Masaï Mara au Kenya. Pourquoi ne pas agir dans le Limousin ou dans les grandes plaines céréalières du nord de la France où des pratiques agricoles régénératrices permettraient également de faire remonter dramatiquement les taux de matière organique des sols avec des effets sur le réchauffement climatique non moins dramatiques. Nous avons choisi le Masaï Mara parce que c’est là que nous avons déterminé que nous pourrions faire la plus grande différence.  En France, où la gestion des sols se fait à l’échelle de chaque exploitation, il nous faudrait convaincre un exploitant après l’autre ce qui, compte tenu de notre petit budget et de la nature peut être justifiée mais plutôt conservatrice du milieu agricole, ne nous semblait que très peu prometteur. Par contre, dans le Mara, où l’approche est plus collective et où les massais qui sont souvent au bord de la pauvreté sont plus ouverts à toute approche succeptible de combattre les effets de la désertification qu’ils vivent au jour le jour, il nous a semblé que nous pourrions obtenir plus rapidement de bons résultats et à bien plus grande échelle.  Nous pourrons ensuite, dans un deuxième temps, utiliser notre expérience et nos résultats pour encourager l’adoption de notre approche dans des régions encore plus vastes.

Une chose est certaine, la séquestration de carbone, quelque soit le lieu où elle est faite, impacte la planète toute entière, puisque le réchauffement climatique est global.  Pour nous il est donc totalement logique d’agir là où nous pensons pouvoir être le plus rapidement efficace. Après 3 mois d’études, le MASAÏ MARA s’est confirmé être le bon endroit.